Consultation sur la Politique de recherche et développement Technologique de TCS. Elle avait été présentée au CCE du 10 juillet. Des questions complémentaires ont été posées. Mais les élus n’ont pas été convaincus. Pour eux, les investissements en la matière restent insuffisants pour maintenir et développer performances et compétitivité. Si pour la GBU SIX les efforts se maintiennent à peu près, en revanche, la situation de la CBU Transport (donc France) devient inquiétante en la matière. A tel point que les élus ont voté contre à l’unanimité.
Un projet de réorganisation des services santé au travail au niveau du Groupe (France) a été présenté par le médecin coordonnateur du Groupe et non plus au niveau de chaque entreprise ou en inter-entreprises pour les plus petites unités. Le médecin coordonnateur nous dit être à l’initiative de ce projet. Ainsi un médecin pourrait en remplacer plus simplement un autre. Une dizaine de médecins supplémentaires seraient embauchés, permettant un meilleur suivi global des salariés. Relativement peu de changement dans les «périmètres» des services santé au travail. Une commission Groupe, incluant des médecins et la direction, piloterait la politique de prévention pour l’ensemble. Une commission de contrôle permettrait un dialogue entre partenaires sociaux, médecins et direction. Ce projet semble présenter des avantages certains. Mais pour la CTFC, ce contrôle central peut aussi présenter des risques accrus de pression sur la liberté d’exercice de chaque médecin. Le projet sera également présenté aux différents CE qui auront également à se prononcer. L’information sera aussi transmise aux CHSCT.
Dernier point : la présentation (confidentielle) de la politique industrielle à moyen terme de TCS.
lundi 22 septembre 2014
Enquête TCS QVT / RPS : les tout premiers résultats
La Commission centrale (CMP RPS) s’est réunie le 16 septembre. Le cabinet Capital Santé a présenté aux membres de la commission les premiers résultats, partiels et provisoires. Le but de cette réunion était surtout de préparer la phase « qualitative » de cette enquête essentiellement constituée d’entretiens collectifs (une quinzaine de focus groupes d’une douzaine de salariés) d’entretiens individuels (une soixantaine) réalisés par les consultantes de Capital Santé auprès de salariés, choisis par le cabinet pour constituer un échantillon aussi représentatif que possible. La complexité de l’organisation de TCS et les réponses obtenues au questionnaire sur la place de chaque salarié dans l’organisation, rendent ce choix difficile. Les entretiens se dérouleront au cours du dernier trimestre 2014.
Il ressort déjà que TCS est une entreprise où une grande majorité de salariés sont en bonne santé psychologique au travail (plus des 2/3). A l’opposé, 2% des salariés ayant répondu sont en très mauvaise santé psychologique au travail. Leur situation peut donc présenter un risque très élevé. Les principaux facteurs de stress ont été passés en revue et sont sans grande surprise. L’état de santé psychologique au travail a été croisé avec les établissements, les activités et les familles professionnelles. Il apparait très clairement que l’état de santé psychologique au travail des salariés de Vélizy est en net retrait par rapport à la moyenne de TCS. Ceux de Lambersart également mais dans un bien moindre mesure. Paradoxalement Brétigny reste dans la moyenne, malgré la situation économique préoccupante. Bien d’autres analyses sont encore à mener sur les informations déjà obtenues par le questionnaire. Les résultats complets seront présentés à la Commission début 2015.
Ces premiers résultats sont basées sur le ressenti des 3359 salariés qui ont répondu au questionnaire. En synthèse, chez TCS, si l’harmonie sociale reste élevée, une certaine anxiété est bien répandue et l’engagement dans le travail est menacé.
Il ressort déjà que TCS est une entreprise où une grande majorité de salariés sont en bonne santé psychologique au travail (plus des 2/3). A l’opposé, 2% des salariés ayant répondu sont en très mauvaise santé psychologique au travail. Leur situation peut donc présenter un risque très élevé. Les principaux facteurs de stress ont été passés en revue et sont sans grande surprise. L’état de santé psychologique au travail a été croisé avec les établissements, les activités et les familles professionnelles. Il apparait très clairement que l’état de santé psychologique au travail des salariés de Vélizy est en net retrait par rapport à la moyenne de TCS. Ceux de Lambersart également mais dans un bien moindre mesure. Paradoxalement Brétigny reste dans la moyenne, malgré la situation économique préoccupante. Bien d’autres analyses sont encore à mener sur les informations déjà obtenues par le questionnaire. Les résultats complets seront présentés à la Commission début 2015.
Ces premiers résultats sont basées sur le ressenti des 3359 salariés qui ont répondu au questionnaire. En synthèse, chez TCS, si l’harmonie sociale reste élevée, une certaine anxiété est bien répandue et l’engagement dans le travail est menacé.
Actualité sociale pour cette rentrée...
... encore bien calme. Mais c'est probablement le calme avant la tempête. Le sujet le plus préoccupant reste bien entendu la sous-charge de Brétigny et ses suppressions de postes.
Le 28 août, J.B Levy a rendu visite à Brétigny et a reçu les représentants syndicaux locaux. Rien de bien neuf. Des bonnes intentions... déjà connues : "il faut que", "nous devrons" ... ou encore pas plus d'information que ce qu'on trouve dans la presse sur d'éventuelles stratégies de rachat ! Seul élément concret : la mise en place de nouveaux "key account managers" dans les pays "émergents" où des marchés sont accessibles activités de RCS .
Ce même jour, un CCE s'est réuni, en visioconférence. Purement formel, il a permis le vote à l'unanimité de la lettre de mission du cabinet Syndex concernant l'expertise préalable (commune au CE de RCS Brétigny et au niveau TCS) à la mise en place d'une GAE qui pourrait déboucher en octobre ou novembre. Le calendrier prévisionnel des étapes de mise en place a été communiqué aux élus.
Enfin, même si nos interlocuteurs de la direction font ceux qui ne savent rien, nous savons tous que des réorganisations importantes se préparent, notamment pour PRS.
A suivre. De près.
Le 28 août, J.B Levy a rendu visite à Brétigny et a reçu les représentants syndicaux locaux. Rien de bien neuf. Des bonnes intentions... déjà connues : "il faut que", "nous devrons" ... ou encore pas plus d'information que ce qu'on trouve dans la presse sur d'éventuelles stratégies de rachat ! Seul élément concret : la mise en place de nouveaux "key account managers" dans les pays "émergents" où des marchés sont accessibles activités de RCS .
Ce même jour, un CCE s'est réuni, en visioconférence. Purement formel, il a permis le vote à l'unanimité de la lettre de mission du cabinet Syndex concernant l'expertise préalable (commune au CE de RCS Brétigny et au niveau TCS) à la mise en place d'une GAE qui pourrait déboucher en octobre ou novembre. Le calendrier prévisionnel des étapes de mise en place a été communiqué aux élus.
Enfin, même si nos interlocuteurs de la direction font ceux qui ne savent rien, nous savons tous que des réorganisations importantes se préparent, notamment pour PRS.
A suivre. De près.
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